Après plusieurs mois d’inactivité, l’appel de l’urbex a été le plus fort.
J’ai donc repris la route pour faire DE l’urbex, et non pas UN urbex, comme tout le monde le dit de nos jours. Tout fout le
camp, même la façon correcte de parler de l’exploration urbaine.
Et même plus fort, ça n’a pas mal tourné ! Étonnant n’est-il pas ?
Parlons un peu du lieu visité ce jour. En fait, il n’y a pas grand-chose à dire.
Des restaurants comme celui-ci, on en trouve des pelles le long de la frontière entre la Belgique et la France. Avec l’ouverture des
frontières et la disparition des postes de douanes, l’occasion de s’y arrêter a disparu, et forcément, les clients qui vont avec.
En cours de démantèlement, ce n’est évidemment pas le spot du siècle. Mais qu’importe, retrouver les sensations de l’exploration urbaine
font tellement plaisir.
Photos
Le Franco-Belge
Ce qui reste de la cuisine.
Le Franco-Belge
Un resto au toit-ouvrant. Original !
Le Franco-Belge
Gage de qualité ?
Le Franco-Belge
Des rideaux d’extérieur !?
Le Franco-Belge
Tout a été arraché sans vergogne.
Le Franco-Belge
Le restaurant a été établi dans une ancienne ferme.
Le Franco-Belge
Le corps de logis possède encore quelques meubles, au milieu d’un bordel sans nom.
Le Franco-Belge
L’arrière de la cuisine.
Le Franco-Belge
Encore du bazar dans les anciennes granges.
Le Franco-Belge
Ce restaurant était encore ouvert en 2009. Adieu !
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