La Belgique est un pays réellement malade. Malade de sa complexité volontaire, malade de sa corruption. Quand l’on voit que nous avons la
chance d’avoir 9 ministres de la Santé dans un si petit pays (oui, neuf !) et sans parler des autres aberrations, on ne peut être qu’effaré.
Et quand l’on voit comment une partie des archives du pays sont traitées, on ne peut être que révolté.
La visite du jour nous emmène sur un site scientifique géré autrefois le gouvernement national, et depuis cette régionalisation débile par
la région wallonne. Si une partie du site est encore parfois utilisée, les bâtiments visités aujourd’hui sont abandonnées depuis une dizaine
d’années, avec tout ce qu’ils contiennent. Ainsi, nous retrouvons à même le sol moult archives et cartes, dont certaines remontent
au XIXe siècle.
On reconnait une société malade à la manière dont elle traite son histoire...
Oui, ceci est un feu de circulation. Mais réservé aux bateaux et péniches.
La première salle comprend divers appareils étudiants la mécanique des fluides. Ici, un ancien panneau de contrôle.
Différents canaux pour l’étude du comportement de l’eau.
Le système de pompes, assez coloré.
Une station météo massacrée.
Plus personne ne répondra…
On arrive aux archives…
Difficile de faire des photos correctes dans un tel foutoir.
Un grand bassin. J’imagine qu’il servait à stocker l’eau utilisée dans les expériences.
Un aspect du site, nappé dans un beau brouillard.
À l’époque, on s’emmerdait à décorer même ce genre d’objet.
Une antique barque (destinée à un certain canal) pourrissant à l’extérieur.
En Belgique, on aime son patrimoine.
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