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The place to be !
Au cas très improbable vous ne seriez pas au courant, Nelson Mandela est mort.
Si vous ne le saviez pas, c’est que soit vous êtes mort, soit vous vivez au fond d’une grotte coupé de la « civilisation ».
En effet, le matraquage médiatique mondial tourne à plein régime depuis l’annonce du décès de l’ancien président sud-africain.
La suite, c'est par ici
E.T. & le Dj
Quand les explorations du jour nous mènent d’une antenne parabolique scrutant les étoiles à l’ancêtre des platines
vinyles, on réalise littéralement un voyage dans le temps et dans l’espace.
Et pour vous repentir, vous trouverez aussi la visite (légale) d’une très belle église à Tournai.
On the road again avec D-Kryptage Urbain & Kaptage.
Autumn Tour 2013
Aaahhh... L’automne...
La chute des feuilles, la chute des températures et... la chute des explorateurs !
Passons les détails mais quelques entrées lors de ce mini-trip valaient réellement le détour.
En route avec D-Kryptage Urbain, Kaptage, Lily Stoneheart et Romain pour de nouvelles aventures.
La dernière chose qui marche encore dans ce foutu pays...
... mais ne boudons pas notre plaisir !
Douze ans après notre dernière qualification, nous pouvons enfin oublier que nous fûmes la risée footballistique européenne
pendant plus d’une décennie.
En passant, un petit coucou à Bart de Wever
NOUS SOMMES QUALIFIÉS !
Brasil, aqui vamos nós !
Summer Tour 2013 - 2ème épisode
On the road again !
Tel pourrait être le titre du prochain blockbuster hollywoodien.
Des gardiens armés jusqu’aux dents (une planche de bois est-elle une arme ?), un chien féroce avec de grandes dents acérées (en l’occurrence
un Jack Russell...), des explorateurs pris au piège dans les vestiaires d’une piscine pas si abandonnées que cela, de la furtivité digne de
Mr. Bean, de vieux pervers en manque de chair fraîche, des pigeons desséchés, un albanais, du suspense hitchcockien et une bonne dose de
fous rires.
Que ce soit avec Christel, D-Kryptage Urbain, Kaptage, Xavier, Lily Stoneheart ou Romain, ce fût de belles rencontres, des visites
de grands classiques de l’urbex ou de petits spots bien sympas, de la bonne humeur et des surprises.
Rendez-vous plus que probablement en septembre pour des nouvelles aventures.
Summer Tour 2013 - 1er épisode
Cap à l’est !
L’été pointant enfin le bout de son nez, rien de tel que quelques friches ou demeures abandonnées pour retrouver une fraicheur
plus que bienvenue.
Un week-end où le corps a été mis à rude épreuve, mais quand le plaisir y est, on oublie rapidement la fatigue.
Un très grand merci à D-Kryptage Urbain, Kaptage, Xavier et André pour ces expéditions bien sympas.
Albert s’en va. Et après ?
Retour en 1993.
J’étais sur mon vélo lorsque le Roi Baudouin passa de vie à trépas.
J’étais jeune et je croyais naïvement que je vivais dans le meilleur pays au monde.
Deux décennies plus tard, je suis moins jeune, je n’ai plus de vélo et je crois pouvoir affirmer que je vis dans l’un des pays les
plus bancals au monde. Inutile de revenir (une fois de plus) sur nos institutions kafkaïennes, comme sorties de l’imagination malade
d’un savant fou.
L’ultime rempart contre la toute-puissance des partis dans ce petit pays était justement le roi. Bien sûr, on me répondra que ce
dernier ne pouvait parler ou prendre des décisions qu’après avoir reçu la bénédiction de nos parasites politiques. Il conservait
néanmoins une neutralité et une aura qui a permis de sortir le pays d’une crise dont la Belgique n’aurait pu ne pas se relever.
A ce titre, j’imagine mal la crise de 2010 gérée entièrement par un Di Rupo ou un De Wever... Albert II avait l’énorme avantage de ne
pas avoir dû mentir (je ne parle pas ici de sa vie privée, hein Delphine...) ou magouiller pour arriver à son poste.
Ce qui restait au sommet de l’État d’impartialité et de dignité est donc sur le point de tirer sa révérence, avant la prochaine crise
prévue (à la grosse louche) à la mi-2014.
La lassitude de la débilité profonde de nos « représentants » et l’âge ont visiblement eu raison d’Albert II.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter, Sire, une bonne retraite et à vous remercier.
Quant à la suite...
J’espère sincèrement que Philippe sera un roi de la même valeur que son père. Si ce n’est pas le cas, je ne donne pas cher de la
peau de mon pays.
Les républicains finiront par avoir la tête de la monarchie et pourront facilement installer un parvenu - pardon, un politicien - à la
tête du pays, avant de le laisser se scinder. Et là, ça en sera fini de nous, pauvres compatriotes... Un rapide tour d’horizon de nos
édiles, tant au nord qu’au sud, suffit à laisser présager du pire.
Nous n’étions déjà qu’insignifiants aux yeux du monde en étant plus ou moins unis, inutile de faire un dessin en cas de disparition de la Belgique.
Allez, je vais tout de même me laisser tenter...
Longue vie à Philippe & vive la Belgique !
Attention le monde ! Wallonia.be arrive !
Pendant que nos multiples niveaux de pouvoir hurlent sur tous les toits qu’il est grand temps de faire des économies, nos pontes
régionales ont cru avoir une merveilleuse idée (une de plus...) en commandant une étude pour un redéploiement de l’image
internationale de la Wallonie, ainsi qu’un nouveau logo.
Le coût ? 60.000 € pour le logo et 477.000 € pour l’étude.
Je vous laisse juger de la pertinence de l’étude et de son prix.
Le détail qui tue (encore un peu plus...) : le nom de domaine Wallonia.be est enregistré depuis 2000 par un particulier de la région de Gand.
Au point où on en est...
Histoire de continuer dans l’aberration la plus totale, et ainsi justifier ma haine envers les politiques (wallons dans le cas qui
nous occupe), 700.000 € supplémentaires seraient nécessaires afin de faire vivre ce logo (sic !).
Petite consolation (juste pour rire), l’achat du nom de domaine wallonia.be ne devrait coûter que 2.500 €.
Rien que de vulgaires tas de briques ?
Une brique seule, c’est moche, c’est lourd et ça ne sert à rien, on est bien d’accord. Et peu de monde se demande d’où viennent ces
briques... D’une briqueterie, pardi !
Et quand plusieurs de ces briques (genre beaucoup, pas quelques dizaines) sont assemblées avec art et passion, cela nous donne des
petits chefs-d’œuvre comme Sacrilege Church. Ou encore une prison.
Évidemment, si un minimum de soin n’est pas apporté à ces édifices de briques, on sait ce qui arrivera.
Destin croisé de deux de ces lieux : l’un où l’on crée les briques, et l’autre où l’on les met en œuvre. Et pour les trois sites, un
long oubli qui se terminera en disparition ou en massacre.
Old school derelict
Pas plus tard que cette semaine, je constatais que j’étais en pleine période « old school ». Et à tous points de vue.
Cela arrive parfois...
Évidemment, cela s’est répercuté sur mes choix de visites du jour. Préférant les lieux passés de mode – oui, il y a des modes
dans tout – j’ai pu voir avec plaisir qu’ils étaient toujours là.
Connaissant ces lieux depuis près de dix ans, jamais je n’aurais imaginé avoir pu y aller un jour. C’est désormais chose faite, la
visite au Kasteel van Mesen m’ayant particulièrement fait plaisir.
Un spot plus récent aura également été visité : la démesure de Heavy Metal.
On a retrouvé le soleil !
Enfin !
Après de longs mois où notre cher astre nous a fait la gueule, un petit week-end où l’on a pu oublier tout ce qui
est waterproof.
Libéré des parapluies et autres emmerdements de santé, c’est avec une certaine appréhension que je ressorti l’APN pour de
nouvelles visites. C’est qu’il faut se réhabituer à l’air libre.
Au rayon tourisme, vous pourrez visiter les musées du Cinquantenaire de Bruxelles, en compagnie de Mike et de votre dévoué (hum...) serviteur.
Rendez-vous à la prochaine drache !
Longue pause
Dernière mise à jour en janvier... Bon, il va être temps de s’y remettre, non ?
Mais pourquoi une si longue absence me dire-vous. J’vous en pose des questions ?
Cela va peut-être vous étonner, mais parfois, j’ai d’autres intérêts que ce site web.
Sur ce, rendez-vous au prochain épisode, d’ici quelques semaines.
2012+1
Histoire de clore cette année 2012 en beauté, deux excursions dans deux lieux d’exception.
Tout d’abord, publication d’une aventure peu commune effectuée à la belle saison, le Théâtre des Reines. Ensuite, une visite à un lieu
qui sera très prochainement de l’histoire ancienne : Hare Monastery.
Si le premier renaîtra bientôt de ses cendres, le second ne sera plus qu’un champ de ruine.
Et donc, après 2012, vient 2013.
Aussitôt la Saint-Sylvestre digérée, je repris mon bâton de pèlerin pour vous faire découvrir le Couvent des Écoliers.
Sur ce, bisous.
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