Quand on n’a rien à dire...
... et bien vous savez quoi ? On la ferme.
En suivant ce conseil bien judicieux, vous éviterez facilement de passer pour un con. Avec l’avènement d’Internet, la parole
a été donnée aux plus stupides d’entre vous et d’un outil de partage du savoir, le web est devenu le porte-voix des débiles
(cf. ici). Pour s’en convaincre,
il suffit de jeter un œil sur les services sociaux ou les commentaires dans la presse, ou encore sur les sites de partage de vidéos.
C’est ainsi que pour le moment, je n’ai rien à dire.
Je ne vais donc pas vous raconter ce qui m’est arrivé la semaine dernière. Ça n’a aucun intérêt et ça ne fera pas avancer la
recherche contre le cancer. Je vais donc vous éviter trop de bla-bla inutile et vous faire perdre votre précieux temps. Après tout,
la vie est courte et perdre son temps avec des considérations peu importantes ne sert à rien. Et puis, je ne vais pas vous exposer ma
vie non plus ! Chacun a droit à son jardin secret quand même ! ET ARRETEZ DE VOUS ENERVER ! MOI, JE SUIS CALME, ALORS ARRETEZ DE ME
POUSSER A VOUS DÉCRIRE LE MOINDRE DE MES FAITS ET GESTES ! BORDEL !!
Euh... oui. Je disais donc que la semaine dernière, entre lundi et vendredi, déjà il faisait super chaud et travailler dans ses
conditions n’a rien d’agréable. Mais bon, faut bien bosser n’est-ce pas ?
Vers 13h58, en début d’après-midi si vous suivez bien... 13h58 alors qu’en réalité, il était 12h58 ! Ben oui ! Ce stupide changement
d’heure d’été ! Il faudra quand même qu’on m’explique à quoi ça sert !? Enfin bon... Donc, la semaine passée... Surtout que la véritable
heure est celle du Royaume-Uni. Déjà pourquoi avoir une heure de décalage alors que nous sommes à la même longitude est d’une stupidité
sans nom. La seule heure qui devrait être la nôtre est l’heure solaire. Mais des pseudos-élites ont décidé que ça ne serait pas le cas.
Que voulez-vous...
Bref, la semaine dernière donc, il y avait une super promo au magasin sur les glaces. Vous pensez bien qu’avec la vague de chaleur,
j’en ai profité, mais ce n’est pas de cela que ne voulez pas vous parler. La semaine dernière donc... Merdre, nous sommes déjà à
la moitié de l’année. Le temps passe vite, non ? C’est ce que je disais tout-à-l’heure, il faut AB-SO-LU-MENT éviter de perdre
son temps. C’est trop précieux le temps. Mais cette semaine le temps est quand même plus tolérable avec quelques averses qui font
du bien au jardin et aux victimes du rhume des foins.
Euh...
Voilà, avec vos digressions, j’ai oublié ce que je ne voulais pas dire ! MERCI HEIN !?!
Enfin, soit, ça va me revenir et en attendant, je vous souhaite de bonnes vacances et ayez une pensée pour la centrale
nucléaire de Zaporijjia.
Ah oui, l’appel de l’urbex a été le plus fort et je me suis aventuré dans un restaurant en cours de démantèlement.
Sur ces belles paroles, j’espère que vous irradierez de bonheur.
Urbex trop cher !
Ma dernière sortie date de novembre 2022. Cela fait donc déjà une éternité. Pourtant, l’envie de reprendre la route me gratouille de plus en plus mais j’ai comme punition d’être travailleur en Belgique. Oui, c’est vraiment une punition ! L’urbex est pourtant pour moi un ballon d’oxygène et un réel bienfait.
Je gagne relativement bien ma vie, je ne suis quasiment jamais malade et je ne prends qu’un seul jour de congé par mois, histoire
de respirer un peu. Mais en Belgique, avoir ce mode de vie est systématiquement sanctionné par des taxes et des impôts toujours
plus indécents. De plus, la libéralisation des énergies (qui serait profitable au consommateur – je me marre !) a permis à nos
fournisseurs de merde de pratiquer des tarifs criminels (400 € par mois, en faisant pourtant hyper attention, à tel point que
mon fournisseur me demande systématiquement de vérifier si je ne me suis pas trompé – j’attends d’ailleurs la facture annuelle
avec impatience...). On ajoute également le prix du diesel et l’inflation, et on arrive à des fins de mois systématiquement difficiles
et qui commencent le 5 de chaque mois.
La guerre en Ukraine a très bon dos (comme auparavant la Covid d’ailleurs) mais pourtant, les scandales éclaboussant nos politiciens
de merde et autres parvenus ne cessent d’être révélés chaque jour. Pourtant, on ne touchera jamais à leurs putains de privilèges
tandis que les con-tribuables sont pressés comme des citrons. La situation ne fera qu’empirer et rien ni personne ne s’y opposera.
Pendant ce temps-là, le gouvernement wallon dépense des fortunes indécentes pour du mobilier de merde et un tunnel à connards. Putain de pays !
Peut-être que je devrais arrêter de travailler, et ainsi faire partie du fonds de commerce du PS et faire une formation en corruption. Ainsi, je pourrais monter les échelons du parti et me faire une place au soleil en profitant du travail des autres.
D’ici là, je reprendrai la route quand cela sera possible, quand je ne serai plus interdit de loisirs.
Bisous.
Ma vie est menacée !
Je suis désormais habité par la peur. Je n’ose plus sortir de chez moi ! J’ai demandé d’être sous protection de la police,
de l’ONU et de l’Agence Tous Risques.
Un quidam me menace et je prends tout cela très au sérieux. Si si !
Il faut dire que j’ai osé critiquer un youtubeur vachement connu, qui s’appelle... euh... j’ai oublié son nom. Et son plus grand fan,
dénommé... euh... décidément... a décidé de me faire la peau !
Bon, ce n’est pas tout ça mais j’ai autre-chose à faire.
Je vous ai quand même écrit une petite explication quant à ces menaces horrifiantes. Accrochez-vous, il y a du niveau...
La suite ici
A plus tard les gueux
Α et Ω
Tout ce qui a un début a une fin.
C’est ainsi, qu’on le veuille ou non. Rien n’est éternel, et surtout pas nous. Pourtant, nous tous, nous laisserons une sacrée
empreinte sur notre bonne vieille Terre. Va-t-elle s’en remettre ? Rien n’est moins sûr. Mais trêve de considérations écolo-fin-du-monde.
L’année 2022 est désormais à classer dans la grande armoire du temps et des souvenirs. On repart dès lors avec un livre rempli de
pages blanches. Chacun d’entre-nous y écrirons des lignes, des chapitres, bons ou mauvais. Dans un an, nous pourrons de retour tirer
un bilan sur les 365 jours écoulés. C’est la tradition, n’est-ce pas ?
Sur ces belles paroles quelque peu étranges, je vous souhaite un Joyeux Noël, une très bonne année 2023 et tout plein de bonheur.
2022 •
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